oh it‘s raining today ! Where is my umbrella ? • pv camael

oh it‘s raining today ! Where is my umbrella ?.

A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Vivement que le printemps arrive ! Je hais toute cette pluie ! Il n'arrête pas de pleuvoir depuis une semaine. C'est vrai qu'en mars il pleut mais cela fait une semaine il ne s'est pas arrêté de pleuvoir ! Donc je sature un peu pour ce qui est de la pluie. Je suis tellement pressée de revoir le soleil ! Mais bon, je n'y peux rien et jusqu'à preuve du contraire je ne peux pas contrôler la météo, malheureusement. Et puis comme une idiote j'avais oublié de prendre un parapluie! Il faut dire que ce matin, j'avais espéré que la pluie s'arrêterait mais non! Il fallait donc que je rentre « chez moi » sous la pluie ! Enfin je peux prendre le bus, mais entre la fac et l'arrêt il y a quand même un petit bout de chemin !

Enfin je me mis à courir jusqu'à l'arrêt de bus pour éviter d'être le plus mouillé possible. Une fois arrivé à l'arrêt de bus je me dirigeais vers le petit panneau où il y avait les horaires. Apparemment le prochain bus n'arriverais que dans une vingtaine de minutes. A croire que les bus ne passaient pas souvent ici. Et puis attendre sous la pluie, non merci. Il fallait que je rentre chez moi à pied, sans parapluie .... C'est sûr qu'une fois arrivé chez moi, j'irais prendre un bon bain chaud sera la meilleure chose à faire ! Mais bon pour l'instant je continuais de courir sous la pluie. J'arrivais dans le centre ville au bout d'une dizaine de minutes et j'étais trempé jusqu'aux os.

Enfin je pourrais peut-être continuer en bus là ! Il y a plus de bus qui passe là-bas, et donc je n'aurais pas besoin d'attendre deux milles ans avant d'avoir un bus. Enfin pour l'instant je grommelais. Et oui j'avais froid et j'avais pensé de quelque chose pour me réchauffer ! Je vis que dans la rue dans face, il y avait un café. Je rentra à l'intérieur, après tout un café me réchauffera certainement. Sauf qu'en rentrant à l'intérieur je vis qu'il y avait énormément de monde ... A croire que tout le monde s'était donné rendez-vous ici. Je me dirigeas vers le comptoir où je passa ma commande. Une fois que j'ai payé et pris ma commande, je cherchais une table où je pourrais m'asseoir. Et là je vis qu'une table était presque libre, puisqu'il y avait quelqu'un qui était assise. Mais bon si je lui demande peut être que je pourrais m'asseoir à côté de lui. Je me dirigea vers cette table, où le visage du jeune homme était caché.

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CHARLIE & CAMAEL

C'est incroyable de voir que c'était toujours les mêmes qui n'ont pas de parapluie, quand il y pleut comme vache qui pisse ! Expression un peu vulgaire certe, mais qui esignait tout à fait le temps qu'il faisait ce jour là à Denver. C'était tout doucement la fin de l'hiver, et le debut de la saison suivante preferée de Camael ; le printemps. La raison est des plus simples, notre beau brun ne supporte pas le froid, et ne supporte pas non plus le chaud, et le printemps c'est entre les deux, parfait pour lui. C'est aussi dans cette saison qu'il a anniversaire, mais ce n'est pas le plus important en ce moment. Le plus important c'est de vite mettre sa capuche de son sweet gris, et de se depecher de rentrer chez soi. Mais quand on vient de la ville et qu'on habite à Lower Downtown, c'est quand même un peu loin.

Camael se mit à courir, courir, pour rentrer chez lui. Il s'arreta un instant sous un arbre, regarda aux alentours, idée de reperer un endroit où s'abriter qui soit plus chaud que dehors. C'est alors que le beau brun arreta son regard sur un café où il allait assez souvent, dès qu'il passait par là avec des amis. Il tâtait les poches de son jean bleu clair, en esperant trouver de la monnaie pour se payer un bon chocolat chaud, ou bien un café noir. Il n'y avait rien à part un paquet de mouchoir, des clefs, un jeton et un ancien ticket de bus. Il souffla, ettant maintenant obligé de rentrer chez lui sous cette pluie, quittant alors son toit de feuilles, il se dirigea vers un arrêt de bus, et regarad le sol. Miracle, c'était bien le mot. Par terre une piece de deux euros, avec ça il a de quoi se payer ce qu'il veut dans le café du coin. Il la ramassa et coura jusqu'à la porte.

Camael entra, se secoua un peu pour enlever l'eau de son sweet, enleva sa capuche pour être poli, et parce qu'elle n'était plus d'aucune utilité. Il se dirigea vers le comptoir, reflechissant alors à sa boisson. Café noir ou chocolat chaud, chocolat chaud ou café noir. Il se decida alors pour le chocolat, ce qui lui rappelait son enfance quand sa mère lui en preparait. Ce dernier en commanda un, et s'assit à une table après l'avoir reçu et l'avoir payé. Il était presque seul en arrivant, mais les gens commençaient à venir de plus en plus, et bientot il n'y avait plus de place dans la salle. Il regarda derrière lui, c'est alors qu'il entendit une voix feminine lui demander si elle pouvait s'assoir. Il fit pivoter sa tête pour regarder la personne, et reconnue alors Charlie, une jeune fille qu'il a connu à une fête.

CAMAEL • Bien sur ! Charlie c'est ça ? Camael, on s'est déjà parlé à une soirée, tu te souviens ?

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A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Mais qu'est-ce -que je peux être stupide des fois ?! C'est vrai quoi, il faut vraiment que je n'ai pas de cerveau pour avoir oublié mon parapluie non? Pourtant c'est simple de prendre un objet comme un parapluie et le mettre dans un sac non? Et bien pour moi apparemment, c'est une chose très compliqué puisque je ne l'ai pas faite.. Et le résultat c'est que maintenant je suis obligé de courir sous une pluie torrentielle pour rentrer jusqu'à l'hôtel !

Enfin prenons le bon côté de la chose, courir sous la pluie me fait faire du sport, ce qui est rare, car je ne suis pas une très grande sportive. Quand je suis entrée dans le café il y avait énormément de monde que ça dissuaderait certaine personne de rentrer dans le café. Mais bon comme il me fallait absolument quelque chose pour me réchauffer! Et puis il faisait assez chaud à l'intérieur. Je prit ma commande et chercha une table, chose dure puisque quasiment toutes les tables étaient prises, sauf une ou presque. Enfin je suis allée demander si je pouvais m'asseoir à la même table. Et je crois pour une fois, la chance m'a souri ! Car celui qui était assis à la table était le jeune homme que j'ai rencontré à la fête organisée par mes parents. Et d'un coup je me suis sentie terriblement bête. En même temps j'étais trempé de la tête au pied, donc j'ai quoi de me sentir bête. Enfin je m'assois puisqu'il m'avait autorisé à m'asseoir.

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Il pleuvait le jour où Camael n'avait pas de parapluie. Malchance ? Surement, mais il était bien decidé à renter chez lui en couarnt, marchant ou rampant. Mais finallement il s'arrêta sous un arbre, esperant un petit miracle pour ne pas être obligé de finir cette journée sous une serviette en train d'eternuer. Il repera alors un petit café, c'était parfait, de plus il avait bien envie de boire un chocolat chaud. Ce dernier tâta ses poches, avec l'espoir de trouver de l'argent, mais il n'y avait rien. C'est alors qu'en continuant sa route, il apperçut une piece de deux euros sur le sol, avec ça il pouvait aller dans le café. Chose qu'il fit, se payant un chocolat pour se rechauffer, il s'assit à une table seul, et remarqua de plus en plus de personne venir. c'est alors qu'une jeune femme lui demanda si elle pouvait prendre place avec lui. Camael reconnu la jeune femme.

CHARLIE • Bien sûr que je m'en souviens! En même temps je crois que c'est difficile d'oublier quelqu'un qui essaye de rentrer en douce quelque part.

C'était il y a quelques mois, Camael était avec ses amis, c'est alors qu'ils lui lancèrent le défi de rentrer dans une fête organisé par les pires ennemis de ses parents. Mais Cam prit son courage à deux mains, et entra en douce, se faisant directement reperer par Charlie. Defi raté, et bien non car la jeune femme l'invita. Et ils passèrent leurs soirée à parler ensemble, de tout, sauf de leurs familles. Normal, sinon à coup sur Charlie aurait changé de reaction vis à vis du jeune homme. Et puis, c'était les histoires de leurs parents, et Camael ne voulait surtout pas être concerné. Surtout que le courant est vraiment bien passé entre eux, du moins c'est ce que pense le beau brun. Bref, Charlie s'assit alors en face du jeune Warren, qui se precipita pour lui repondre, en rigolant avec un beau sourire pour le montrer.

CAMAEL • J'aurais pensé que c'était pour autre que le fait que je sois rentré discretement, ou presque.

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A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Bon le reste de la journée allait sûrement mieux se passer. Ce n'est pas cette pluie qui allait gâcher ma journée après tout ? Et puis cette pluie aura peut-être apporté quelque chose de bon de cette journée. J'aurais au moins eus la chance, une chance très hasardeuse d'ailleurs, de revoir Camael depuis la soirée organisée par mes parents. Je me souviendrais toujours de cette soirée. L'arrivée de Cameal était bien la seule chose de positif durant cette soirée. Il avait essayé de rentrée en douce, chose que je ne comprends toujours pas puisque moi j'essayais à tout prix de m'échapper de là! Enfin on a parlé, parlé durant toute la soirée et le courant est vraiment bien passé, enfin selon moi après de son côté je ne sais pas du tout, mais c'est comme ça que je l'ai ressentit. C'est qu'après la soirée que j'ai appris que Camael était le fils d'une famille que la mienne détestait. C'était peut-être pour ça que je ne l'ai plus revu après ? A cause de cette querelle stupide ?

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Dans un certain sens, c'est vrai que Cameal est difficile à oublier, enfin c'est ce que je pense. Je le regarda quelques instants puis lui lança un sourire. Bon j'ai vraiment l'impression de me comporter comme une débile en ce moment. Je pris le café que j'avais commandé pour en boire une gorgée.

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Alors que Camael se promenait en ville, regardant quelques boutiques, discutant avec des personnes qu'il avait déjà vu, regardant un peu partout autour de lui, le bruit de la foudre se fit entendre et la pluie commença à tremper tout Denver. Surtout notre beau brun qui n'avait pas de parapluie sur lui, il mit alors sa capche, ce qui n'allait pas le laisser intact longtemps mais c'était mieux que rien. Il commença une course pour rentrer chez, mais decida finallement se metter sous un arbre pour reflechir. C'est alors qu'il eu l'idée de boire quelque chose de bon et de chaud dans un café en face de lui. Il se paya un chocolat chaud et alla s'assoir à une table seul, alors que du monde commençait à venir. Il regardait derrière lui quand une voix l'interpela, se retournant il reconnu Charlie. Ah Charlie, il l'a rencontré grace à un pari stupide au depart, d'entrer dans la soirée de la jeune Matthews, famille ennemi des Warren. Il n'hesita pas à le faire, et finallement passa toute la soirée là abs, à parler avec la belle brune.

CHARLIE • Oh il n'y a pas que pour ça que je ne t'ai pas oublié, on va dire que c'est vraiment difficile de t'oublier.
CAMAEL • Je prend ça pour un compliment, et je t'en remercie !

Camael était surpris de la reponse de la jeune femme qui venait de s'assoir en face de lui. Il était difficile de l'oublier, phrase qu'apprecia le jeune homme qui lui repondit, accompagné par un sourire. Charlie baissa le tête poru prendre sa boisson et la boire, elle reprit alors la discution, avouant qu'elle était surprise que Cam se souvienne de son nom. C'est normal pour lui, surtout que c'est la fille de la famille ennemi de ses parents, mais surtout parce que c'est quelqu'un qu'on oublie pas si facilement, Cam n'a pas cessé de penser à elle.

CHARLIE • Je suis surprise que tu te souvienne de mon nom d'ailleurs.
CAMAEL • Et bien il est difficile de t'oublier, et je retiens très bien les noms aussi !

Ajouta t-il avec un sourire colgate.

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A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Décidément il faisait vraiment meilleur ici, dans le café, qu'à l'extérieur, où il ne cessait pas de pleuvoir depuis une semaine. Vivement que le printemps arrive ! Je suis tellement pressée que le soleil revienne. L'hiver n'est pas ma saison préférée, il fait bien trop froid ! Alors je suis tellement heureuse lorsque le printemps arrive !! Mais je le suis encore plus lorsque c'est l'été ! J'adore le soleil, alors il est donc normal que l'été sois ma saison préférée, même si je trouve que de temps en temps il y fait un peu trop chaud. Mais bon je dois malheureusement supporte ce passage qui est l'hiver !

Charlie était rentré dans ce café juste pour avoir un peu de chaleur. En rentrant dans ce café, je n'avais même pas imaginé une seule fois de croiser Cameal, puisque depuis la soirée je ne l'avais plus du tout revu. J'étais quand même contente de le revoir, j'étais même plus qu'heureuse de le revoir vous ne pouvez même pas imaginez à quel point!

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J'avais toujours mon sourire, qui est digne la pub pour ces dentifrices célèbres. Je pouvais me comporter comme une idiote quand je me retrouvais avec lui. Bon d'accord c'est vrai que c'est que la deuxième fois que je le vois, mais déjà à la soirée je m'étais déjà comporter de façon assez stupide avec lui... A croire que je ne suis pas très douée pour tout ce qui est relationnelle peut être.

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Il avait plu toute la semaine, et pourtant Camael n'avait pas epnsé à prendre un parapluie, car même si il y avait un petit rayon de soleil, il faut être prevoyant. Mais bon, ce sera une prochaine fois. Pendant ce temps, Cam courait pour rentrer chez lui mais decida de rentrer dans un café, en attendant qu'il cesse de pleuvoir plutot que d'être trempé en arrivant chez lui. Enfin c'était aussi une excuse parce qu'il en avait un peu marre de courir comme un idiot. Il se paya alors un chocolat chaud avec une piece de deux euros trouvé sur le sol. Installé à une table depuis cinq bonnes minutes, Camael se retourna car il entendit quelqu'un lui adressait la parole. Il reconnu alors Charlie, une fille rencontré à une soirée, tout ce qu'il y a de normal, et pourtant ils étaient ennemis. Enfin plus les parents, d'ailleurs Cam avait trouvé la belle brune très gentille, charmante et souriante. Ils avaient passé une super soirée, du moins c'est l'avis du jeune Warren.

CHARLIE • Mais c'était un compliment.

Sur ces mots Camael sourit. Presque à en rougir, mais non. Il n'avait pas l'habitude d'être complimenté, et c'était d'autant plus touchant venant de Charlie. Elle bu alors un peu de son café, Cam prit sa boisson et fit de même, soufflant avant pour refroidir un peu. Le beau brun dit alors à sa voisine d'en face qu'elle aussi était difficile à oublier, elle rajouta qu'elle prennait aussi pour un compliment, ce qui fit sourire Camael.

CHARLIE • Je prends ça aussi pour un compliments.
CAMAEL • C'en était un. C'est bien de te revoir, ca fait déjà quelques temps ...

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A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Tombé sur Camael dans ce café était bien la dernière chose que je pouvais m'imaginer. Et le plus incroyable c'est qu'il m'ait reconnu. Oui, parce qu'avec mes vêtements collés sur mon corps à cause de la pluie et mes cheveux trempé et à moitié électrique, je ne comprends même pas qu'il a pu me reconnaître ! Et en plus de ça, je dois être horrible ... D'accord, c'est vrai que d'habitude, je n'accorde pas d'importance à mon apparence, mais il faut bien que je sois un minimum regardable ! Chose que je ne suis apparemment pas aujourd'hui. J'étais quand même heureuse que Camael m'ait reconnu alors que je ressemble à une sorcière.

Lorsqu'il m'avait dit qu'il était difficile de m'oublier, je lui ai dit que je prenais ça pour un compliment. Enfin je prends tout ce qui vient de lui comme un compliment. Oui c'est bizarre, mais bon pour moi, tout ce qui venait de lui devait forcément gentil. Et pourtant si j'écoutais mes parents, je devrais me méfier puisqu'il est le fils d'une famille rivale à la mienne. Chose que je trouvais stupide, puisque lors de la soirée passée avec lui je l'ai trouvé très charmant. Et après tout pourquoi je devrais détester quelqu'un pour la simple raison que mes parents détestent sa famille. Et puis de toute manière je n'écoute jamais mes parents.

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Je lui souris, une fois de plus. Même si ce n'était que la deuxième que je me retrouvais avec lui, à chaque fois je me sentais plus heureuse. Oui ça peut paraître bizarre pour vous, mais pour moi c'est normal, je réagis de façon bizarre pour chaque occasion ...

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Je mis quelques seconde avant de réaliser ce que je venais de dire. C'est vrai que ce que je venais de lui dire pouvais s'interpréter de différentes manière. Enfin j'espère qu'il ne le prenne pas mal ou quelque chose dans ce genre là.

Alors qu'à l'exterieur il n'arretait pas de pleuvoir, Camael était bien au chaud à l'interieur, dans un café à sa vie frequenté, car il était très remplie. Doit-il remercier la pluie, car il est en très bonne compagnie. En effet, alors que le beau brun regardait ailleurs, une jeuen femme l'interpela lui demandant si elle pouvait s'assoir avec lui à la table. Il accepta avec un grand sourire, reconnaissant le visage de Charlie, qu'il n'a pas vu depuis sa fête d'entrée à l'université, ou quelque chose comme ça. Elle s'installa alors, encore plus trempée que Cam. Il n'avait pas été le seul à avoir oublier son parapluie et à avoir couru, elle était un peu essoufflé. Un café avec elle, un chocolat chaud pour Cam, ils debutèrent la conversation, alors que le jeune Warren se rememorait le jour où il était entré en douce, enfin c'est un grand mot. Il s'était directement fait reperé par la belle brune.

Charles, son père, lui avait toujours dit de se mefier des filles, surtout la fille des ennemis, car oui les Matthews étaient ennemis des Warren. Mais ca se voit qu'il n'a jamais connu une fille comme Charlie, elle était simple et compliquée à la fois, avec un magnifique sourire, que Cam n'a pas encore oublié. Il commencèrent par des petits compliments, des sourires, quand Camael ajouta que cela faisait déjà quelques temps qu'ils ne s'étaient pas revus. Il fut surpris par la reponse de la jeune femme.

CHARLIE • Oui, depuis la fête. Moi aussi je suis heureuse de te revoir, tu ne peux pas savoir à quel point tu m'as manquer.

Le beau brun resta bloqué un instant sur les paroles de la belle, reflechissant à comment il devait le prendre. Il l'a regarda alors, elle avait l'air de se rendre compte de ces mots. Pour appaiser un peu le blanc venant de s'installer, Camael decida de le prendre bien, comme un simple ami, c'est surement ce qu'ils étaient après tout. Bien que le jeune homme n'ai cessé de penser à elle, cela ne devait être reciproque.

CAMAEL • C'est pareil de mon coté ! Tu es vraiment quelqu'un de bien, on manque de gens comme toi dans la vie !

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Peut-être était-ce un signe du destin si j'ai croisé à nouveau le chemin de Camael ? Bon d'accord c'est vrai que cette hypothèse est vraiment débile. C'était juste une coïncidence, beaucoup de gens vivant à Denver prennent leur café ici, puisque c'est le meilleur café de la vile. Donc qu'il soit aussi là, n'est pas vraiment un signe du destin, c'est juste une simple coïncidence. Mais une magnifique coïncidence alors.

Après la fête, tout prêtait à croire que je n'aurais plus eu jamais l'occasion de le revoir une seconde fois. Déjà premièrement à cause de mes parents qui me l'avait interdit, ce n'était même pas ma faute si j'avais passé la soirée entièrement avec lui alors qu'il était le fils de la famille Warren, famille que mes parents haïssaient! Je ne savais même pas qui il était. Et puis de toute manière comme je n'écoute pas ou que rarement mes parents je l'aurais quand même revu. Et la deuxième chose qui me laissait croire que je n'allais pas avoir l'occasion de le revoir à nouveau, c'était que je pensais qu'il m'évitait à cause de ce que je suis. Mais bon apparemment je me suis trompée, puisqu'il était content de me revoir.

Quelle idiote je suis ! Pourquoi je lui ai dit qu'il ne pouvait pas savoir à quel point il m'avait manqué! Bon d'accord c'était la vérité, mais j'ai l'air d'une idiote maintenant ! Bon d'accord j'ai toujours l'air d'une idiote, mais là encore plus ! Et s'il l'avait mal pris, je me serais sentis mal! Mais bon apparemment ce n'était pas le cas!

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On manque de gens comme moi ?! Je trouve que c'est plutôt mieux qu'il n'y ait pas trop de personne comme moi ! Sinon la vie aurait été insupportable. Enfin c'est ce que je pense, mais sans vraiment trop comprendre pourquoi, je lui souris.

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Peut être que finallement, cette journée pluvieuse aurait été benefique. Non seulement parce que Cam a trouvé assez d'argent sur sol pour se payer de quoi boire dans un café, chose qui ne lui'arrive jamais, mais surtout car il a enfin l'occasion de revoir et de reparler à Charlie. Si elle n'était pas la fille des ennemis des Warren, ils se seraient certainement déjà revu. La raison est certainement que quand la belle brune apprit l'idendité de Camael, elle ne voulu plus le revoir. C'est vrai que c'est pas super d'être amis dans des condition comme ça.

Simples amis ? Pourtant notre beau Warren n'a cessé de penser à Charlie depuis leur rencontre, il y a quelques mois de ça, dans une fête preparé par ses parents à son souvenir. Jamais il n'avait connu quelqu'un de semblable à la jeune femme, et sa beauté naturelle ne le laissait pas si indifferent que ça. Un vrai conte de fée, qui tourne mal au debut, et qui pourtant fini bien. Ou plutot une pièce de theatre à la Romeo et Juliette, mais Camael ne croit pas à ces trucs, surtout qu'il est certain que la belle brune ne ressent rien pour lui. En une soirée, il n'y a qu'un Warren pour tomber sous le charme d'une personne. Mais n'allait pas croire qu'il est comme ça avec n'importe qu'elle fille, c'est bien le contraire. En tout cas, il était bien content de pouvoir être avec elle dans ce café, alors que dehors il pleut, pleut et pleut encore.

CHARLIE • C'est moi ou j'ai encore le droit à un compliment ?

C'est vrai ça ! Camael ne cessait de lui faire des compliments, comment le prend t-elle ? Comme toute personne recevant des compliments, en bien, mais il ne voulait pas trop en faire non plus. Il passa sa main droite dans ses cheveux bruns et trempés, la reposa sur la table et sourit à Charlie, tapota des doigts avant de lui répondre sans trop gaffer.

CAMAEL • Et oui encore. Je crois que je vais m'arrêter, sinon tu vas prendre la grosse tête !

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Notre rencontre, celle de Camael & moi, ressemble à un conte de fée. C'est peut-être parce que je suis une fille que je pense ça. Après tous que elle fille n'a jamais rêvé de trouver son prince charmant dans un bal ? Bon d'accord au début cela ressemblait à un conte de fée, mais maintenant ça ressemble plus à Roméo && Juliette, à cause de l'histoire entre nos familles respectives. C'est confirmé, je suis en train de délirer. Mais il est vrai que notre rencontre a de nombreux points commun entre la rencontre de Roméo & de Juliette. Déjà les deux héros s'étaient rencontrés à la soirée organisée par les parents de Juliette. Comme pour Camael & moi. C'est bon, je m'arrête puisque je suis en train de délirer complètement.

Mais j'étais contente de l'avoir retrouvé. Et puis peut être qu'après on pourra devenir de bons amis, même si au fond de moi j'espérais que ça sois plus que de l'amitié mais peut-être ne ressent-il pas la même chose pour moi ?! C'est vrai que le courant était bien passé entre nous deux, mais qu'après cette soirée il ne ressente pas la même chose que moi. Et ça y est ça recommence, je suis partie dans mes délires ...

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Mon sourire ne s'enleva de mon visage lorsque Camael eut prononcé ces mots. En faite depuis que je lui parle, j'avais toujours ce sourire, qui est digne des publicités pour de célèbre marque de dentifrice que je ne citerais pas le nom, sur mon visage. Oui j'étais plus heureuse lorsque je me retrouvais avec lui, et alors?

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Camael, un impulsif, maladroit, qui n'a pas une memoire toujours presente. Mais au fond, n'est-ce pas mieux qu'il est oublié son parapluie, et qu'il soit rentré dans ce café pour se rechauffer. Car maintenant c'est la deuxieme fois qu'il voit Charlie, la deuxieme que parce qu'il y a une fille avec lui il devient idiot et heureux. Et oui, il est heureux, car il croyait que la jeune femme ne voulait plus le voir apprenant que c'était un Warren. Et leur rencontre se passait tout comme Roméo et Juliette, en reel cette fois, et c'était merveilleux, à part peut être le fait des familles ennemies. Sinon dieux que c'était bien. Et puis après tout Camael s'en fiche pas mal, il est bien en la compagnie de Charlie, et cette derniere n'a pas l'air de dire que cela lui deplait. Cam en bel idiot, n'arrêtait pas de la complimenter, ce qui n'avait pas l'air de lui deplaire.

Tout deux reunis par le destin dans un café, Charlie ayant un café, Cam un chocolat chaud. Et ils parlaient, comme de vieux amis. C'était vraiment bien, mais cela embetait quand même le beau brun, voulant au fond quelque chose de plus fort qu'une amitier. Mais bon, il devra si faire, certainement que la jeune femme n'est plus seule.

CHARLIE • Oh non, j'aime bien recevoir des compliments ! Surtout venant de quelqu'un que j'apprécie énormément !!

Et un bon point pour Camael, un ! Elle l'appreciait, mais enormement, et ça fait toujours plaisir de savoir que les gens vous aime, plutot qu'ils vous detestent. Cam sourit à ces paroles, ne sachant trop quoi répondre. Il bu une gorgée de son chocolat chaud, et reposa la boisson sur la table.

CAMAEL • Sinon, qu'est ce que tu faisais par un temps pareil ?

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A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

Je crois que je n'ai jamais aimé autant la pluie dans ma vie. Pour une fois que je peux trouver quelque chose de positif à la pluie, c'est vraiment un miracle ! Mais peut-être que tout ça était un rêve ? C'est vrai que depuis que j'ai rencontré Camael, j'ai fait de nombreux rêves où il était dedans. Alors peut-être qu'en ce moment même je suis en train de rêver, encore une fois. Mais ce rêve ne me déplaît absolument pas. Ou alors était-ce vraiment la réalité ? J'espérais au plus profond de moi que je ne rêve pas. En même la première fois où j'ai rencontré Camael, j'ai cru que je rêvais alors que c'était la réalité ...

Je continuais à le contempler. A chaque fois que je le regardais, j'avais l'impression que mon coeur allait s'arrêter à tout moment. Je n'avais jamais ressentis cela auparavant, mais c'était un sentiment si agréable. Et rien que pour ça, mais pas que pour ça non plus, j'aimerais passer mes journées entières avec lui! Pour la deuxième fois de ma vie je me sentit heureuse. La première fois c'est lorsque j'ai rencontré Camael. Mais bon je doute fort qu'il ressente la même chose pour moi, à mon grand désespoir. J'aurais tellement aimé qu'il y ait autre chose que de l'amitié, mais bon l'espoir fait vivre non?

Je portais une nouvelle fois mon café à mes lèvres pour en boire quelque gorgée. Je remarquais qu'il avait souris lorsque je lui avait que j'aimais bien recevoir des compliments de la part de quelqu'un que j'apprécie énormément. Et encore je trouve que l'expression " apprécie énormément" est trop bien pour décrire ce que je ressent pour lui.

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Je soupirais légèrement. Qu'est-ce que ça peut être déprimant de passer des journées entières à l'université, alors que la vie à l'extérieur peut-être bien plus amusante.

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Bon d'accord, ça pouvait peut-être manqué un peu de tact, mais comme ça je pouvais savoir si il avait une copine ou pas en toute discrétion ou pas... Enfin j'espérais surtout qu'il me réponde qu'il n'avait pas rendez-vous avec sa copine.

Camael, c'est le genre de personne compliqué, qu'on comprendra jamais de la vie, sauf si on est pareil. C'est bien simple, il n'aime pas le chaud, il n'aime pas le froid, pas la pluie, pas la neige, pas le soleil, pas le vent. La météo est sa pire ennemie, enfin surtout le temps. Et pourtant, on peut dire que ce jour là, la pluie il l'embrasserait bien, si il le pouvait. Grace à elle, il a rencontré la delicieuse Charlie Matthews, fille qu'il a rencontré une première fois à sa fête de je ne sais quoi, et qui depuis ne cesse d'hanter ses pensées. Elle est differente des autres filles sur lesquelles Cam a déjà craquer, elle a un charme fou sans le vouloir, rien que de la voir trempé, faisait sourire le beau brun.

Amoureux ? Peut être, peut être pas. Il n'a pas l'habitude de tomber amoureux n'ayant vu la personne qu'une seule fois, même toute la soirée. Mais l'habitude qu'est-ce au fond ? N'est-ce pas mieux de changer la routine, surtout si ca nous heureux. Si ca nous fait rêver, nous fait esperer quelque chose de magnfifique, de magique. Camael lui est bien decidé à ne pas laisser la jeune femme, il tient bizarrement à elle, va savoir comment cela se fait-il. En quelques mois, il n'avait pas était si heureux que depuis qu'il a entendu la voix de Charlie, s'est retourné pour la voir, et surtout la contempler. N'importe qui pouvait être jaloux de Cam à ce moment precis, et le beau brun était bien joyeux que se soit lui.

Surtout qu'il trouvait que la jeune femme était bien aux cotés du Warren, peut-être n'était-ce qu'une hallucination, qu'un simple rêve, qu'une envie de la part du beau brun. Mais pourtant, il y avait quelque chose, depuis le debut ils ne cessaient de complimenter l'autre, de se lancer des regards. Et Cam ne revait pas du tout ! D'ailleurs, Charlie lui dit par des mots qu'elle était bien avec lui, du moins c'est ce qu'a compris le jeune photographe. Ou ce qu'il a voulu comprendre.

CHARLIE • Et toi qu'est ce que faisait ?! Tu avais rendez-vous avec ta copine peut-être ?

Demanda la jeune femme, ayant comme une pointe de jalousie, que Camael ne remarqua pas. Mais il fut tout de même surpris. Certe beaucoup de femmes trouvaient le jeune Warren plutot mignon, mais il n'avait personne dans sa vie, à part ses meilleurs amis, sa famille, son boulot. Pas de petite amie pour le moment, bien que Cam ai une grande envie de l'être avec Charlie. Mais il peut encore l'esperer longtemps, ce n'est surement pas l'avis de celle-ci.

CAMAEL • Et bien je n'ai pas de copine, et j'étais en ville avant. Et toi, tu as quelqu'un dans ta vie ?

oh it‘s raining today ! Where is my umbrella ?.

A ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur. Certains rentrent chez eux. Certains racontent des mensonges pour s’en sortir. D’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien, et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes dans le monde, six milliards d’âmes. Et parfois… il ne vous en faut qu’une seule.

C'est bien simple si on me demande si j'aime la pluie ou le soleil, je répondrais certainement que j'aime le soleil. C'est vrai, n'est-ce pas si agréable de sentir la chaleur du soleil ? Mais bon si on me demandait maintenant si je préférais la pluie ou le soleil, ma réponse serait sûrement la pluie. Oui, parce que c'est grâce à la pluie que j'ai enfin pu revoir Camael. Je ne sais pas pourquoi j'ai autant envie de le voir comme ça. Je le trouve si différents des autres garçons, il est si ... si je ne trouve pas de mots pour le décrire. Enfin quand je dis que je le trouve si différent, c'est d'un point de vue positif bien sûr.

Était-ce de l'amour que je ressentais pour lui ? Après tout je n'ai jamais réellement été amoureuse. Bien sûr comme toutes les adolescentes j'ai eu quelques amourettes, mais rien de réellement sérieux. Mais avec lui, c'était différent. Mais bon, peut-être que Camael ne ressent pas la même chose. Et dans ce cas j'aurais l'air vraiment d'une idiote! Chose que j'ai l'air tout le temps, mais là j'aurais encore plus l'air d'une idiote que d'habitude ...

Lorsque je lui avais demandé s'il attendait sa copine, il y avait dans ma voix une pointe de jalousie. Oui je suis jalouse, encore un signe de l'amour ? Et alors ? Était-ce si mal ? Mais bon il n'y avait pas de mal à être jalouse, non?

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J'étais rassurée, au moins il n'avait pas de copine. Alors j'avais peut être une chance avec lui? Mais il faut que je vois la vérité en face, je n'ai aucune chance. Pourquoi un garçon comme lui s'intéresserait à moi? C'est vrai je suis quelqu'un de banal, alors que lui non ! Si j'avais quelqu'un dans ma vie ?! Il me posait réellement cette question ? Je ne rêve pas ? A cette question je sentis le rouge me monter aux joues.

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Camael etait heureux. Il planait, était sur un petit nuage. Il était comme un gosse venant de recevoir la voiture miniature qu'il voulait depuis toujours, comme un adolescent qui venait d'embrasser pour la première fois, la fille dont il est fou amoureux. Comme un adulte, devenant père avec une femme merveilleuse. Le beau brun lui était un homme heureux de revoir Charlie, la fille qui hante ses esprits depuis leur premiere rencontre. Idiot, ca il l'était, cessant de la complimenter, de lui sourire. Mais il n'avait pas l'impression que ca deplaise à la jeune femme en face de lui.

L'amour, c'est peut être bien ce que Warren eprouve envers Charlie. Il ne sait pas vraiment, cette situation ne s'est jamais produite auparavant, il ne s'est jamais si bien entendu avec une femme lors d'une seule rencontre. Et il aime ça, ou peut-être l'aime t-il ? Maybe. Mais ce qui est presque sur, c'est que ce ne soit pas reciproque. Cam en est sur, que lui il est seul à penser une tel chose, que la jeune femme n'en a que faire de lui, ou alors qu'elle l'aime bien en amitier. Et lui espère que non, que pour elle aussi il y a eu ce courant, et qu'elle ne cesse de penser à lui. Arrete de rêver mon pote !

CHARIE• Et bien non je n'ai personne dans ma vie.

A ces mots, Camael sourit. Comme un idiot, il le savait, mais il était heureux de savoir qu'elle n'avait personne dans sa vie. Sinon il serait devenu rouge de jalousie, mais cela aurait été normal, Charlie est merveilleuse. Et quel idiot celui qui ne le remarque pas ! Si ce pari n'aurait pas été lancé, jamais Cam aurait connu la belle brune. D'un coup, il se sentait mieux, moins anxieux d'entendre un "oui" sortir de la bouche de son interlocutrice.

CAMAEL • C'est bien ça. Enfin non ! c'est pas ce que je voulais dire ! Je ... je veux qui que c'est bien, ca veut dire que tu rencontras ton ame-soeur ... Bref ...

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